65 % des projets IT échouent (Standish Group).
Pour les ERP, le taux grimpe jusqu’à 75 % (ResearchGate).
Et la raison est presque toujours la même : trop de complexité, pas assez d’adoption.
Les experts l’expliquent depuis des années. Les cas concrets d’entreprises le confirment.
Dave Thomas (Simplicity) et Max Kanat-Alexander (Code Simplicity) sont clairs :
Un projet simple coûte moins cher, dure plus longtemps et continue à créer de la valeur.
À l’inverse ? Revlon.
Moralité : simplifiez si vous voulez que la valeur reste.
John Ousterhout (Philosophy of Software Design) et John Maeda (Laws of Simplicity) préviennent :
Chaque couche inutile fragilise le système.
Southeast Power en a fait les frais :
Chaque fonction inutile aujourd’hui devient un problème demain.
Steve Krug (Don’t Make Me Think) et Donald Norman (The Design of Everyday Things) insistent :
Un outil doit s’expliquer de lui-même.
Carrefour Italie l’a compris avec SymphonyAI :
Si vos équipes doivent suivre 3 jours de formation, c’est déjà trop.
La philosophie Unix dit : “Do one thing and do it well.”
37signals : lancez vite, supprimez l’inutile.
Carrefour France a suivi cette logique :
Moins mais mieux = plus de résultats.
McKinsey le confirme :
Les projets digitaux simples et progressifs sont 2,7 fois plus susceptibles de réussir.
Un système simple :
La simplicité, c’est de l’agilité pure.
Dave Thomas rappelle :
La simplicité n’est pas une méthode. C’est une culture quotidienne.
Gifi illustre l’inverse : une migration IT trop lourde a désorganisé l’entreprise et fragilisé son modèle économique.
Chez ITized, nous avons fait un autre choix :
Pas de rupture, pas de manuel de 200 pages. Juste de la tech qui s’intègre naturellement.
Les experts sont unanimes. Les cas concrets aussi.
👉 La simplicité est le critère n°1 pour réussir un projet IT.
Chez ITized, c’est notre conviction profonde :
La meilleure technologie est celle qu’on oublie, parce qu’elle devient une évidence.